21
AOUT
2013
Dans les pas du Président de la République, du Premier ministre et du Gouvernement qui ont donné lundi le signal de la rentrée politique, la fédération de l’Eure du Parti socialiste effectue cette semaine sa rentrée militante.
Elle sera rythmée par trois premiers rendez-vous.
1) Parce que l’union politique des socialistes et des écologistes, qui a contribué à notre victoire en 2012 et participera à nos victoires en 2014, se nourrit dans les collectivités locales et dans les fédérations, je représenterai la fédération de l’Eure jeudi 22 août aux Journées d’été d’Europe Ecologie Les Verts à Marseille pour participer, à l’invitation de la Sénatrice du Val-de-Marne Esther Benbassa qui en est l’organisatrice, aux côtés de Naïma Charaï, conseillère régionale PS d’Aquitaine et Présidente de l’ACSE (Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité), et aux côtés d’élus locaux représentant les différentes bannières de la Gauche, à un atelier de réflexion sur le droit de vote des étrangers aux élections locales et sur les campagnes à mener ensemble contre la droite qui empêche l’adoption de cette réforme par le Congrès.
2) Nous nous retrouverons également à partir de vendredi 23 août à l’université d’été du Parti socialiste, à La Rochelle, autour de notre Premier secrétaire Harlem Désir. La rencontre amicale, désormais instituée et institutionnelle, avec les camarades de la fédération de Seine-Maritime, est prévue samedi à 13h00. Avec Christophe Bouillon, Premier secrétaire fédéral de Seine-Maritime, nous y tenons. En campagne, les forces de nos deux fédérations, habituées à travailler ensemble, s’uniront d’autant mieux.
3) Puis, de retour dans l’Eure, pour continuer d’accueillir dans nos sections de nouveaux militants et soutenir nos candidats, nous lancerons dans tout le département la campagne d’adhésions préparée ensemble ces derniers mois : « C’est décidé, je m’engage dans l’Eure ! Je rejoins la fédé. » Trois visuels déclineront ce slogan. Chaque secrétaire de section recevra d’ici quelques jours un lot d’affiches et des flyers. Les sections pourront ainsi dès septembre, avec le soutien de la fédé, organiser le collage, la distribution sur les marchés, la communication numérique.
C’est une année de campagnes qui s’ouvre. Nous avons six mois pour convaincre. Convaincre deux fois, les Eurois et les Européens.
Très bonne fin d’été et excellente rentrée à toutes et à tous.
Marc-Antoine JAMET
30
JUIL
2013
Les « chantiers jeunes », tout au long de l’été, arpentent la ville. Ici pour repeindre un mur ou une cour. Là pour marquer des emplacements de stationnement. La Ville est solidaire de ses enfants. Ils savent ce que leur Ville fait pour eux et du coup ils ne demandent pas ce qu’ils ont à faire pour leur Ville. Ils le savent aussi.
29
JUIL
2013
Souvent l’été, magazines et publications lancent des concours de légendes d’illustrations ou de photographies. Essayons aussi. Trois indices pour reconstituer celle-ci. 1) Le nom de la Ville où vivent ces enfants est inscrit sur une casquette. 2) Les casquettes rose, verte et rouge reprennent les couleurs du rassemblement de Gauche qu’incarne la municipalité. 3) La couleur des banquettes sur lesquelles ils sont installés est la même que le centre de loisirs dans lequel ils s’amusent l’été. Bravo, vous aurez reconnu les enfants de Val-de-Reuil, du centre de loisirs de la Voie blanche, assis dans le petit train du Jardin d’acclimatation à Paris. Merci à Gabriel Rojzman pour cette photo et cette pensée.

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16
JUIL
2013
Madame, Monsieur, chers amis et concitoyens,
Dimanche dernier, pour le 14 juillet, devant les Rolivalois désormais nombreux, de tout âge, de toute origine, à assister aux cérémonies patriotiques, au premier rang desquelles -évidemment- la « fête nationale », et, donc, à se rassembler, avec les élus, au Monument Mémoire & Paix, j’ai souhaité insister sur quatre sujets. Parce qu’en eux résident des enjeux importants pour notre Ville. Parce qu’ils concernent la République. Parce qu’ils marqueront notre avenir et celui de nos enfants.
Je suis revenu tout d’abord sur les acquis de l’ORU, puis de l’ANRU. Cette révolution a changé notre vie et notre ville. Grâce aux 100 millions d’Euros supplémentaires que nous avons pu obtenir pour notre commune, sans qu’un sou d’impôt soit demandé à ses habitants, elle nous a permis de construire ou d’agrandir écoles, collège, lycée, de nous doter d’un commissariat, d’un jardin sportif, d’un hôtel d’entreprises, d’une maison de l’enfance, de remplacer un système d’éclairage vieillissant, de rénover nos rues et nos avenues, jusqu’à la dalle et à la place des quatre saisons, d’introduire le chauffage au gaz, la fibre optique et l’eau chaude solaire dans nos foyers, etc, etc, etc, bref d’améliorer le quotidien de beaucoup d’entre nous. C’est pourquoi il nous faut pour la décennie qui vient un second programme national de rénovation urbaine, un programme de deuxième génération, un programme pour finir ce qui a été commencé, je pense notamment au commerce, ainsi que j’en ai défendu l’idée devant le Président de la République.
J’ai rappelé, ensuite, la mobilisation qui doit s’organiser pour dire non à une autoroute qui, le long de la forêt de Bord, défigurerait la Ville et détruirait notre cadre de vie. La mairie a pris la tête de ce combat et j’invite, toutes et tous, à signer la pétition mise en place sur www.valdereuil.fr. Il faut écarter cette menace. Cela devrait tous nous fédérer.
J’ai naturellement souligné, aussi, la nécessité absolue de ne pas opposer les quartiers de Val-de-Reuil les uns aux autres, l’importance de défendre à la fois la partie rénovée et la partie non encore rénovée, le germe de ville et les quartiers résidentiels, la base de loisirs et les Clouets, la forêt et les carrières, les nouveaux commerces et les parcs industriels. Comme le disait Clemenceau de la Révolution Française, Val-de-Reuil est un « bloc » et doit être défendu entièrement, comme tous ses habitants, les anciens comme les nouveaux, ceux qui réussissent comme ceux qui sont en difficulté, ceux qui sont jeunes comme ceux qui sont âgés. Il ne peut pas y avoir de tri entre les gens, entre Rolivalois de souche (qui y seraient nés) et Rolivalois de préférence (qui y seraient venus par la suite). On sait où ces choses-là commencent, mais on ne sait pas où elles finissent. L’ADN de la Ville c’est toute la Ville. Je ne voudrais pas que, par esprit d’exclusion, il lui manque des chromosomes.
Parmi eux enfin, un combat très important ici et que je sais que vous ne partagez pas tous, mais je voudrais vous convaincre et que vous m’aidiez à le relayer. Nous croisons tous les jours dans la ville, sur la dalle et autour, des gens qui sont des contribuables, des parents d’élèves, des responsables associatifs que nous n’autorisons pas à voter aux élections locales. Il est invraisemblable que 20% de la commune ne puisse pas s’exprimer alors même que l’on cherche des moyens d’intégration toujours plus forts dans notre pays. Il ne faut pas moins de République. Il faut plus de République. Sans que cela veuille dire qu’ils seront maires ou adjoints, en étant attentifs à ce que nos compatriotes français à l’étranger puissent, par réciprocité, bénéficier du même droit, le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales est une avancée à laquelle il faut réfléchir. J’ai publié une tribune sur ce débat que vous pourrez retrouver sur mon site.
Vous pouvez être certain de mon dévouement pour notre Ville.
Marc-Antoine JAMET,
Maire de Val-de-Reuil, Vice-président du Conseil régional de Haute-Normandie

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