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La Ville de Val-de-Reuil et la SILOGE, bailleur social, se sont associées pour proposer aussi bien à des Rolivalois qu’à de nouveaux habitants, entre gare et mairie, sous la houlette et avec le talent de l’architecte/urbaniste Philippe Madec, spécialiste reconnu des éco-quartiers, un nouveau mode d’habitation respectueux de l’environnement : l’éco-village des Noés. Grâce à l’aide du Conseil Général et du Conseil Régional, s’inscrivant -parmi les premiers en France- dans la liste des terrains mis à disposition des collectivités locales par l’Etat, cette réalisation est le fruit d’un large partenariat.
S’étendant sur 4,9 hectares, il rassemblera 98 logements écologiques, parfois sur pilotis, dans un esprit de village et renforcera l’extension, déjà engagée, de Val-de-Reuil vers sa façade naturelle : les rives de l’Eure. Ce lancement de chantier est l’aboutissement de 4 années d’imagination et de travail. Le marché entre le bailleur et l’entreprise Quille permettra de démarrer l’opération. Il sera signé, sous la présidence du Maire de Val-de-Reuil, ce vendredi 31 janvier 2014 à 14h30 en salle du Conseil.
La construction de la première tranche débutera en mai 2014 avec 34 logements, la chaufferie et le parc écologique, complémentaire de celui -entièrement aménagé- que CEMEX rendra dans deux ans à la Ville, pour une livraison en janvier 2016. Une seconde tranche comprenant 64 logements, une crèche, une place de marché, une maison des jardiniers permettant une activité de maraîchage biologique installée et développée en coeur du quartier, débutera en janvier 2015 pour une livraison mars 2016. Les logements, de type mixtes individuels et collectifs, isolés ou reliés, en accession ou en location, favoriseront la citoyenneté et la convivialité. Les équipements permettront de renforcer la mixité sociale de la plus jeune commune de France.
Les choix architecturaux, de forme contemporaine, s’intégreront avec soin aux quartiers les plus proches et leurs habitants seront associés au processus d’aménagements (liaisons, accès, etc.). Les choix énergétiques, les matériaux utilisés (souvent le bois), seront les plus modernes, s’inscrivant dans les objectifs de division par 4 des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2050, objectifs prévus par le Grenelle de l’environnement. Cette conception permettra un faible niveau de charges pour leurs occupants et de baisser encore, dans la prolongation des travaux de rénovation énergétique des logements réalisés dans le cadre du renouvellement urbain, la facture énergétique des Rolivalois.
Avec cette signature, Val-de-Reuil, citoyenne, agréable et responsable, franchit un nouveau pas vers la ville de demain et continue d’innover, continue d’avancer.
Communiqué de Marc-Antoine JAMET, Maire de Val-de-Reuil, Vice-président du Conseil régional de Haute-Normandie
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Pendant que le nombre de logements grandissait pour accueillir toutes les familles et toutes les générations, que la mixité sociale s’insérait, que les quartiers progressivement étaient rénovés et embellis, notre Ville a attiré de nouveaux habitants, les logements des Rolivalois ont pris de la valeur, le nombre de ventes annuelles a doublé en dix ans. Voici les trois premiers enseignements d’un dossier « spécial Immobilier à Val-de-Reuil » auquel ni L’Express ni Le Nouvel Observateur ont eu accès. Cette note vient tout droit du service urbanisme de la Ville. Je la livre telle quelle. Elle intéressera de nombreuses familles.
EVOLUTION FONCIERE DEPUIS 2001 A VAL-DE-REUIL
2000/2001 : des prix très bas et en dessous des communes voisines
En 2001, les prix étaient très bas à Val-de-Reuil. Les maisons en zone pavillonnaire se vendaient entre 70 000€ (le Parc, la Voie Blanche) et 100 000€ (Le Cavé, Les rives de l’Eure, Corsaire). Les maisons de ville se vendaient moins chères sur la dalle (45000€) qu’au Cavé où elles se vendaient aussi chères que les pavillons (80 000€) en raison du calme de ce quartier. Les appartements, principalement situés sur la dalle qui était assez dégradée à l’époque, se vendaient à des prix très bas et nettement inférieurs au marché (320/350€/m²).
2002/2007 : Val-de-Reuil rattrape son retard petit à petit
Sur cette période, la ville a suivi la tendance nationale à l’évolution mais à un rythme plus soutenu. Les prix des maisons de ville ont augmenté en suivant la tendance nationale (hausse entre 20 et 30% selon les quartiers). Bien qu’elle soit assez importante en pourcentage, les prix restent modérés compte tenu de la grande taille de ces logements. Ce phénomène peut s’expliquer par la mise en vente de nombreux logements de ce type par des bailleurs notamment à la Trésorerie (Foyers Stéphanais) et rue de la Plaine/vallées (Plaine Normande).
En revanche, les pavillons sont devenus très attractifs puisque les prix ont doublé (Cavé, Raquet, Voie Blanche, Rive de l’Eure) voire quasi triplés pour le quartier du Parc redonnant confiance aux propriétaires. Si les premiers effets de l’ORU/ANRU se font sentir, c’est surtout la raréfaction de la mise en vente des terrains sur les Communes alentours (Léry/Vaudreuil/Pont de l’Arche) qui contribue à faire venir de nouveaux habitants sur la ville.
Concernant les appartements, les prix ont augmenté sur la Garancière (+40%), mais les prix restent très faibles compte tenu de la vétusté de cette copropriété (prix moyen 450€/m²) qui sera rénovée dans le PNRU2. Sur les appartements du 41 rue Traversière, les effets de l’ANRU se font sentir car les prix ont grimpé passant de 355 à 1130€/m². Il faut rappeler que la rue Traversière était la première à être rénovée.
2007/2013 : Les effets de la crise immobilière, mais pas que…
La période récente est assez particulière. Les pavillons dans l’ancien, dont les prix étaient devenus très élevés ont légèrement reculés et se vendent désormais entre 180 000€ et 200 000€ c’est-à-dire à des prix équivalents à ceux des communes voisines (Léry/Poses/Vaudreuil). Le nombre de vente dans ce créneau a diminué et les pavillons restent un peu plus longtemps sur le marché. Ce plafond de vente est simple à comprendre puisque le prix encore attractif des terrains vendus en lotissement (50/60 000€) fait que les ménages se tournent désormais vers les logements neufs mieux isolés (BBC ou RT2012). Le quartier du Raquet est particulier avec un montant moyen de 140 000€ dont les raisons sont difficiles à comprendre (peur du futur quartier de la Ferme Equestre ?).
Pour les appartements, les prix dans l’ancien continuent à progresser (1250€/m²) mais restent en dessous des nouveaux programmes livrés sur la période (NEXITY voie de la Nation et CONSTRUCTA route de Louviers) dont les prix dépassent les 2000€. Ici aussi, un alignement se fait avec les communes voisines.
Pour les maisons de ville, le nombre de vente a considérablement augmenté sur la période, de même que les prix (entre 125 000 sur le germe de ville et 155 000€ au Cavé). Cette tendance s’explique par le fait que les banques prêtant moins facilement, les ménages se recentrent sur des biens moins coûteux, faisant ainsi augmenter les prix de vente (l’augmentation de la demande fait augmenter les prix). Du reste, les nombreux logements vendus par les bailleurs depuis 2002 ont densifié le nombre de biens disponibles. Ce phénomène a d’ailleurs contribué à faire nettement s »accroître les prix sur la première couronne entourant le germe de ville.
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Ce samedi, Val-de-Reuil a été récompensée à deux reprises lors de la cérémonie des grands prix de l’architecture de Haute-Normandie. On retrouve deux fois le nom de la ville nouvelle au palmarès de cette édition 2014. Val-de-Reuil a d’abord reçu le « prix du lieu de travail » pour la qualité de ses nouveaux Ateliers municipaux et les conditions de travail qu’il offre à ses agents. Bravo à son concepteur, l’architecte américain – et francophile – James Cowey, de l’agence « Studios Architecture », qui a réalisé un bâtiment précurseur et accélérateur de l’extension de la ville vers la gare. Deuxième récompense pour Val-de-Reuil, toujours ce samedi, une « mention spéciale du jury », non décernée habituellement et non prévue cette année encore, attribuée, tant la réussite est belle, à Lydie Chamblas pour le travail d’aménagement extérieur du quartier de la Grosse Borne. C’est ce travail sur le paysage, l’ouverture de l’espace et son verdissement que nous avions présenté au Président de la République lors de sa venue dans notre Ville. Son travail est publié sur ce site. Je vous invite à le retrouver en quelques clics. Les organisateurs de cette récompense nous ont fait monter sur scène. J’ai dit aux deux architectes, devant Frédéric Sanchez, le Président de la CREA, Nicolas Mayer Rossignol, le président de la région, et Yvon Robert, le Maire de Rouen, qui nous accueillaient, combien les Rolivalois leur étaient reconnaissants de leur travail et de leur attention pour notre Ville.
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2014
Pour créer des emplois, comme Sophie Buquet-Renollaud d’Evreux et Mélanie Mammeri de Haute Normandie, à mes côtés sur la photo, j’agis concrètement par la Cosmetic Valley, avec ses partenaires publics et privés, préfets, maires, députés, entrepreneurs, universitaires.

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