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12 NOV 2018

Dominique JAKOB et Brendan MACFARLANE, architectes du Monument Mémoire et Paix de Val-de-Reuil

28 octobre 2018,

Cher Marc-Antoine Jamet,

 

Il y a 20 ans nous avons réalisé pour les habitants de Val-de-Reuil le monument à la mémoire et à la paix. 

 

C’est dans un esprit d’humilité, d’ouverture, d’accueil adressé à tous que nous l’avons imaginé. 

 

Son parcours isole progressivement de l’ambiance quotidienne de la ville, pour une fois le seuil franchi, se retrouver face au ciel, dans un univers propice à la mémoire et à la paix.

 

Pour un architecte, la meilleure des récompenses est de revenir plusieurs années après la réalisation et de constater qu’il est régulièrement utilisé par les Rolivalois(es) pour les cérémonies citoyennes et qu’il est magnifiquement entretenu. 

 

La citation d’Elie Wiesel gravée dans les murs : « Bouclier contre la laideur de la haine et l’absurdité de la guerre, la mémoire seule permet aux hommes d’espérer » résonne tous les jours et renforce le rôle du monument actif. 

7 MAI 2017

Un beau jour pour la France

La ville était belle, elle s’était préparée et rutilait de propreté et de drapeaux. Le maire portait son écharpe. Il y avait du soleil. Il a fait un très beau discours surtout le moment sur la crèche. Il disait : « qu’on soit de Turquie ou de Cherbourg, d’Afrique ou de Rouen, on veut tous protéger nos enfants, et que dans cette crèche, ils seraient tous égaux parce que c’est à ça que sert la République ». Ça nous a tous soulevés et on a applaudi. Et puis le petit homme a parlé sans aucun papier et c’était tout construit dans sa tête. Il avait l’air content d’être là. Le pauvre Stéphane Le Foll, personne lui demandait rien. Et puis, Lapin et d’autres sont venus sur scène et Lapin essayait de se frotter au maire pour récupérer quelques fanes de carotte. On le voyait mais c’était pas grave. On avait pas envie de se fâcher. C’était un beau jour pour la France et ça faisait du bien après l’engueulade de bistrot de la veille.

Laurence Jamet

21 NOV 2015

Pour Nicolas, Marc-Antoine, Timour, Martine, Christine, Raphaëlle et tous les autres.

J’ai la chance de connaître, malheureusement trop peu, Nicolas Mayer-Rossignol. La première fois que j’ai lu son nom, c’était dans l’en-tête d’un mail. Nicolas en était l’auteur et l’expéditeur. Il était écrit à 3h48 du matin, pour lancer une idée nouvelle dans le cadre du festival Normandie Impressionniste. Sa réputation de travailleur est plus qu’avérée, travailleur le plus tard possible s’il le faut, ce qui laisse du temps à consacrer aux autres et aussi, parce que cela est sain, aux siens. Un soir de mars 2014, mon téléphone sonne vers 20h00, à l’heure où l’on créé généralement sa bulle autour de soi, de ses enfants, de sa famille. Sur mon téléphone s’affiche « Mayer-Rossignol Nicolas ». Je décroche. « Jean-Baptiste, j’ai appris que tu venais d’avoir une fille. J’imagine doublement ton bonheur parce que j’ai la chance d’en avoir deux. Je voulais te féliciter ! » Élégance, simplicité, gentillesse absolues. Je crois aux petits signes et gestes qui en disent beaucoup sur la capacité à mesurer et décider les grands actes. C’est probablement, en politique, une des règles les plus fiables de l’exemplarité. J’ajoute que j’ai pour les gens qui se battent pour Dieppe une tendresse particulière. Et les salariés d’Alpine, qui ne sont pas les seuls, savent les résultats du Président de région, Nicolas Mayer-Rossignol.

J’ai la chance de travailler parfois avec Marc-Antoine Jamet. Sans révéler les méandres de notre intimité et pour éviter de discréditer tout compliment, me revient un souvenir de l’époque où nous ne nous connaissions pas. C’était en 2005. Il était, c’est un signe, dans l’hémicycle de l’Assemblée régionale et, déjà, car ce n’est pas un slogan mais bien la réalité, le siège d’Hervé Morin était inoccupé (j’ai en tête l’image comme si c’était hier : j’étais jeune, stagiaire, impressionnable et je scrutais les têtes d’affiche, pensant qu’elles étaient présentes). Oh ce n’était pas il est vrai un texte important en discussion : juste l’un des textes du calendrier budgétaire de la Haute-Normandie. Marc-Antoine Jamet prend alors la parole. Un directeur à mes côtés capte mon regard : « Ecoutez bien, c’est un très bon ». En trois minutes, MAJ convoque Brecht pour convaincre du bienfondé de telle orientation budgétaire plutôt que telle autre et convainc jusque sur les bancs de l’opposition laissée sans mot. Le directeur me regarde : « Je vous l’avais dit… » L’intelligence et la compétence du Maire de Val-de-Reuil font, chaque jour, y compris chez ceux qui depuis le temps seraient censés s’y habituer, notre admiration. Elles font, chaque jour, pour ses administrés et bien au-delà, des merveilles.

J’ai la chance d’être ami avec Timour Veyri. La première fois que je l’ai rencontré, mais aussi la deuxième fois, d’ailleurs encore la troisième, sans doute aussi la quatrième et, j’y repense, la cinquième, Timour défendait ses idées et Evreux. Il défendait d’ailleurs ses idées à Evreux, puisqu’il a décidé qu’elles guideraient sa vie. Pour Evreux ils sont 50 000 à l’avoir choisie et ils ont raison. Mais quand on a 33 ans, et que dans sa vie on choisit les autres, sans doute ceux qui s’y tiennent sont-ils moins nombreux que ceux qui s’en réclament. Parce que cela exige, ce ne sont pas des mots, constance et courage. Bien sûr Timour n’aime pas seulement l’intérêt général, même s’il l’aime sans doute plus que tout. Évidemment il aime aussi l’engagement, les choix, les positions. Mais ce sont ces candidats-là qu’il faut élire. Ils vous disent où ils veulent aller. Ils y vont avec vous. Alors allez-y avec eux. Vous êtes sûrs d’aller quelque part. Il faut voter Timour Veyri. Et il faut voter pour lui longtemps.

J’ai la chance d’avoir rencontré Martine Seguela. Outre que nous partageons un amour commun pour Bordeaux et sa région, elle est, ce qui est l’essentiel pour les Normands, d’une énergie inépuisable. Elle rencontre. Elle s’interroge. Elle consulte. Elle décide. Elle répond. Elle solutionne. Combien de jeunes et de familles a-t-elle aidés, après les heures de cours, le soir et le week-end. Elle est d’un investissement personnel épatant aux Andelys où de très nombreux habitants – je l’ai vu ! – l’encouragent et la soutiennent. Lui demandent même d’être candidate. Exceptionnel !

J’ai la chance d’avoir beaucoup discuté (et déjeuné) avec Christine Dunet, incarnation du militantisme et de la fidélité aux valeurs de  la Gauche. Elle est pour moi LE visage féminin de Grand-Quevilly et l’un des plus fidèles du socialisme seinomarin ! De toutes les mobilisations, de toutes les actions, de toutes les rencontres de terrain. Elle respire citoyenneté, elle rêve fraternité, elle agit solidarité. Son travail et ses engagements ont des cibles, toujours : les jeunes, leur avenir ; les salariés qui ont des droits et à qui il n’est pas interdit d’en donner d’autres ; les anciens qui ne l’oublions pas ont travaillé, à qui l’on doit donc respect, reconnaissance et attention. J’ai pour Christine un grand respect.

J’ai la chance d’avoir eu comme collègue Raphaëlle Krebill, de l’armada cantilienne. Le sourire, l’écoute, l’énergie et, malgré la jeunesse, l’assurance de celle à qui « on ne le fait pas », jamais dupe – c’est une qualité pour un élu – des impostures, des mesquineries et des faux-semblants. Sa lucidité est un atout. Mélanie Boulanger, Maire passionnée et dévouée de Canteleu, en a toujours dit, mais vraiment, le plus grand bien. C’est un gage et une recommandation de poids.

Ces lignes ont une vocation toute modeste mais j’y tenais : témoigner un peu, à ma place, de mon point de vue, de ce que sont les hommes et les femmes pour qui, à deux reprises en décembre, je l’espère vous irez voter et avec qui vous créerez la Normandie. Ce sont des esquisses personnelles. D’autres pourront les nourrir, les améliorer, les compléter, mais probablement pas, je pense, à moins d’être de mauvaise foi ou pire de mentir, les contredire. Mes références ? Un pedigree de choix : la plaque avant de ma voiture est immatriculée 27 et la plaque arrière 76. J’ajoute que j’ai de la famille proche et mes meilleurs amis dans le Calvados et que Les parapluies de Cherbourg est mon film préféré. Mais vous jugerez surtout sur les talents, qualités et garanties que vous apportent Nicolas, Marc-Antoine, Timour, Martine, Christine, Raphaëlle et tous les autres.

Jean-Baptiste Verrier

11 MAR 2014

Joséphine DEDET, écrivain

« Non impliquée en politique, je fais une exception pour Marc-Antoine Jamet, que je connais depuis 25 ans. Son intégrité, son dévouement à sa ville et au bien public sans esprit partisan, son talent fait d’imagination et de vivacité, enfin, ce qui ne gâte rien, sa profonde humanité font de lui un maire exemplaire. Je suis sûre que les Rolivalois, qui en sont conscients, lui renouvelleront leur confiance. Et continueront avec lui à faire avancer leur ville. »
Joséphine Dedet, écrivain.

21 FEV 2013

Marlène PEYRUTIE, Présidente de l’association Terre et Paix : « Je vous écris du bassin d’Arcachon. »

Je vous écris du bassin d’Arcachon.

En 2011, je fus candidate à une élection cantonale, sur  un territoire « bleu » avec quelques nuances de « bleu marine »….C’était ma première campagne.

J’aurais pu, c’est vrai, ne rien changer dans ma vie de femme engagée et socialiste lorsque j’ai entendu : « on ne va pas gagner, on y va la corde au cou ». Oui mais voila, je suis un peu rebelle (en un seul mot, bien sur). Parce que je  ne veux pas vivre avec des remords, encore moins avec des regrets, je me suis lancée !

J’ai fait une très belle campagne durant laquelle j’ai fédéré autour de moi des dizaines de militants qui se sont reconnus dans le programme que je portais. La presse fut à nos côtés, et mon blog reçut plus  de 20 000 visiteurs en quelques semaines. Je n’ai pas été élue. Il m’a manqué 210 voix, sur 11 000 inscrits, pour aller au 2ème tour.

Ma place en politique ? Je l’ai découverte grâce aux coups que je recevais : ils étaient  proportionnels à la crainte de me voir monter sur scène. A tous mes adversaires, j’ai imposé la distance et le respect avec mon verbe haut et mon écriture facile : « ce qui ce conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément…. » Ce n’est pas de moi, mais ça me ressemble !  Je sais c’est un peu prétentieux de citer Nicolas Boileau,  mais dans mes moments de solitude, je cultive l’autodérision, c’est salvateur et c’est un peu comme la pub, ça marche !

Engagée, je le suis aussi en tant que présidente de l’Association Terre et Paix[1].  Avec l’équipe de  bénévoles, nous avons mené un rude « combat » : porter la solitude des familles de soldats blessés, atteints de syndrome poste guerre, appelé aussi « blessures invisibles »[2]. Plusieurs centaines de familles étaient concernées dans le silence total de l’ancien gouvernement, et l’absence des élus que nous avions contactés. J’ai connu la solitude de l’engagement, mais je n’ai jamais baissé les bras.

Au printemps dernier, je fus invitée à un café débat sur l’engagement de la France en Afghanistan. Profitant de ce déplacement en Normandie, j’ai rencontré Marc Antoine Jamet à la Mairie de Val de Reuil. Il m’a accordé du temps, et son soutien. Durant plusieurs semaines, il a guidé ma réflexion, et m’apporta ses conseils dans la mission associative.

Après l’élection de François Hollande, les portes du ministère de la défense se sont ouvertes grâce à son intervention. Il fut d’ailleurs présent lors des rendez vous au ministère, me permettant d’être écoutée et entendue ; sans son aide,  nous n’aurions pas pu alerter sur les centaines de familles chavirées par le retour d’un soldat blessé..

En janvier dernier, lorsque le conseiller du ministre m’a appelé pour m’informer  de l’ouverture du numéro vert[3], j’ai ressenti un immense soulagement : l’association Terre et Paix doit beaucoup, et plus encore à celui qui fut à nos côtés pour cette belle mission.

Aussi, lorsque jeudi dernier, j’ai lu un coup de griffe du « canard », sur  « un socialiste surmené », j’ai pensé à la cantonale, avec son lot de flèches assassines. Curieux zoom avant de la gazette pour une  récente nomination à la tête d’un établissement « étrillé par la cour des comptes », alors que dans le même temps, une autre gazette publiait le Top 10 des cumulards de mandats…sans que ne soit cité le correspondant épistolaire épinglé par la feuille de chou. Curieux, non ?

Mon  expérience  en politique, me laisse à penser, que « quelques amis » soucieux de son « surmenage »(…) croassent,  faute d’avoir  ce qu’ils ne posséderont jamais : la légitimité apportée par une carrière exemplaire, et la reconnaissance d’un engagement sans faille. La réussite dérange ceux qui ne peuvent y accéder et tous les coups sont permis : c’est petit, et ça doit retourner d’où cela vient : du caniveau !

J’ai écrit cette chronique pour remercier très chaleureusement Marc Antoine Jamet, au nom des centaines de familles concernées par le Syndrome Post Guerre. Vous m’inspirez le  Respect, l’une des valeurs de mon idéal de femme engagée.

« L’idéal de la vie n’est pas de devenir parfait, c’est la volonté d’être toujours meilleur ». Ralph Waldo Emerson

Marlene Peyrutie (marlenepeyrutie@yahoo.fr)


[1] Terre et Paix est une association crée en novembre 2011. La marraine est Michèle Delaunay, Ministre. Nous militons pour une meilleure prise en charge des familles de soldats atteints de PTSD.

[2] Le 26 mars prochain parution de « L’enfer du retour », chez Gazewitech. Avec l’aimable contribution de plusieurs personnalités civiles et militaires, permettant de comprendre le Syndrome Post Guerre.

[3] Le numéro vert « Ecoute Défense » est le 08 08 800 321 ; il permet d’orienter le soldat et les familles vers les services appropriés. Il est ouvert 7/7 et 24/24.

5 AVR 2012

Chantal Talland, anthropologue urbaine et directrice de l’école de la rénovation urbaine et de la gestion des quartiers : « A Val-de-Reuil on pense l’avenir »

  • En quoi la rénovation urbaine améliore-t-elle la vie sociale des habitants ?

Agir sur l’urbain, c’est aussi améliorer les liens, trouver les moyens que les habitants participent au processus de transformation, faire en sorte qu’ils soient acteurs du projet. Comme avec l’élaboration du Plan Stratégique Local où les Rolivalois sont associés aux réunions au même titre que les experts. On sait pourquoi on vient, pourquoi on produit quelque chose, c’est passionnant.

  • Val-de-Reuil est souvent citée en exemple, qu’est-ce qui fait sa particularité ?

Val-de-Reuil est une ville exemplaire. C’est à la fois une volonté politique et une organisation. Ce qui, moi, m’impressionne, c’est la façon dont Val-de-Reuil a marqué le territoire. La ville est née d’une utopie mais aujourd’hui, on n’est pas uniquement dans la réparation, on pense aussi l’avenir. Elle a des principes urbains extrêmement forts. C’est une ville qu’on a tous étudiée et que l’on continue à étudier.

  • Pensez-vous que la ville a des chances de faire partie du prochain plan de renouvellement urbain ?

Ce n’est pas à moi de le dire, mais ce qui est intéressant c’est qu’avant même cette attente-là, on est déjà engagé dans le projet, la réflexion continue. On assume une prise de risque réelle. Je trouve qu’il y a un courage politique très fort.

 

Propos recueillis par Marion Bouchalais, La Dépêche, 5 avril 2012

 

22 MAR 2012

Avec Alain Jakubowicz, Président de la LICRA, pour la République unie contre le racisme, l’antisémistisme et l’intégrisme.

Chères amies, chers amis,

La France vient d’être frappée au coeur par des actes de terrorisme islamiste marqués du sceau du racisme et de l’antisémitisme, qui ont entrainé la mort de sept enfants de la République.

Ces actes de barbarie, qui visent à insuffler la peur et le chaos, tentent de mettre à mal le vivre ensemble dans notre société et d’éprouver notre attachement aux valeurs républicaines.

Bien loin de la tentation du repli et de la haine, bien loin de la peur à laquelle certains voudraient nous voir céder, bien loin de l’amalgame entre islam et terrorisme, la réaction de la société française doit être unitaire, ferme et fraternelle.

A cette occasion, nous vous appelons à prendre toutes les initiatives possibles à votre portée, et invitons tous les citoyens, quelles que soient leur confession, leurs opinions politiques, leurs origines ou leur couleur de peau, à venir exprimer leur dégoût de la haine raciste et antisémite ainsi que leur attachement aux valeurs de la République dans lesquelles se trouve inclus le respect pour chacun de sa dignité d’être humain.

La Licra se joindra notamment à SOS Racisme, à l’UEJF et à l’Association des victimes du terrorisme à l’occasion d’une marche silencieuse, ce dimanche 25 mars à 15h Place de la République à Paris. Vous retrouverez la liste des manifestations prévues en France sur le site internet de la Licra.

Nous nous devons être à la hauteur de l’attaque qui a été portée au Vivre ensemble et à la République.

Fidèlement votre.

Alain Jakubowicz

25 JAN 2012

Thomas Toutain, animateur fédéral des jeunes socialistes : « J’ai décidé de soutenir la démarche collective de Marc-Antoine Jamet ».

A la suite d’un meeting au Bourget qui a soulevé l’enthousiasme et l’espoir de tous les militants et sympathisants socialistes, je crois pouvoir dire que la campagne est belle et bien lancée. Notre candidat François Hollande, notre première secrétaire Martine Aubry et le président des jeunes socialistes, Thierry Marchal-Beck se sont mis au diapason pour transmettre aux militants les grandes lignes de l’organisation de la campagne à venir, et ainsi tracer le chemin qui nous mènera vers la victoire.

Désormais, cette dynamique doit se poursuivre au niveau local. Notre fédération, nos sections doivent, dès maintenant, être à la hauteur de l’enjeu qui se présente à nous. Aujourd’hui, notre parti doit permettre à François Hollande d’être largement majoritaire dans cette belle terre industrieuse et rurale qu’est  notre département de l’Eure. Demain, notre parti devra s’assurer que le plus grand nombre de nos camarades eurois iront jusqu’aux bancs du Palais Bourbon pour défendre notre projet de société.

Ce sera le rôle de notre prochain premier secrétaire fédéral que de s’inscrire dans cette démarche. Pour ma part, j’ai décidé de soutenir la candidature de Marc-Antoine Jamet.

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4 AOUT 2011

La parole à Catherine Duvallet

La Dépêche de Louviers, 4 août 2011.

La parole à Catherine Duvallet – Secrétaire de la section PS de Val-de-Reuil

Législatives : « nous aimerions que ce soit Jamet »

A un peu plus de deux mois des primaires socialistes, les sections locales sont déjà en ordre de bataille. Comment vont-elles s’organiser ? Quel est l’état d’esprit des militants après l’affaire DSK ? Qui représentera le parti aux législatives ? Eléments de réponse avec Catherine Duvallet, secrétaire de la plus grosse section PS de l’agglomération.

(suite…)

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